TECHNIQUE AQUARELLE

 

jeux de neige

vélo à la campagne

Aquarelle réalisée avec 2 pigments de base : jaune et sepia

 

Bouquet de fleurs roses dans un vase transparent

réalisé sur un feuille au format 30 X 40 cm

avec 2 pigments de base, rose et vert

 

Coquelicots dans une coupelle

Un petit bouquet de coquelicots

réalisé avec 2 pigments de base : bleu turquoise et rouge

 

Aquarelle bouquet de coquelicots

Bouquet de coquelicots dans un petit vase

 

Réalisation en campagne, les chardons de Cadouin

Bouquet de lilas, mai 2015

BOUQUET DE LILAS – avril 2015

Bouquet réalisé avec 2 pigments de base uniquement. Pigment rose et turquoise winsor.

 

Aquarelle réalisé avec 3 pigments de base : jaune, rouge et sepia. On obtient des tons gris et noirs variés

 

 

Aquarelle : cajot de fleur

 

Fleurs, bouquets, voici une série…

 

Des passants dans une petite rue à Cahors

Aquarelle rue et mur, angle de rue

C’est difficile de changer de sujet, il faut réapprendre à poser son pinceau, son eau et ses pigments… On peut dire que c’est une aventure à chaque fois…

Une vieille moto, un peu rouillée et très poussiéreuse… Sur cette aquarelle j’ai eu beaucoup « d’accident », de flaques d’eau, la météo était un peu humide et ça voulait pas sécher… Au final, c’est pas si mal…

Bouquet de lys : On s’habitue à un sujet, le fait de changer, on doit réapprendre à apprivoiser la lumière.

Aquarelle du chat qui dort

LE CHAT ROUX

LE CHAT GRIS

 

Les couleurs aquarelle et la dilution de l’eau

L’eau est indissociable de l’aquarelle : c’est elle qui donne aux pigments leur légèreté et leur luminosité. Maîtriser la dilution de l’eau et ses effets sur les couleurs est l’une des principales difficultés.

Septembre le mois de la moto ?

Moto année 50

Biplan

Moto cross – Paris-Dakar

 

Moto cross boue

Association des couleurs , ici violet et orange, par endroit il y a du rouge ajouté au violet et orange pour foncer la teinte, le marron est obtenu en mélangeant du violet et de l’orange.

Moto cross

JANVIER 2012

Connaître les  couleurs, savoir associer les pigments La théorie des couleurs permet de connaître les interactions des couleurs et le résultat de leurs mélanges. La meilleure manière de maîtriser la couleur est encore de s’entraîner aux différents mélanges et de les expérimenter  par soi même. Avant chaque mise en  peinture il est nécessaire de prendre une feuille de papier et de tester les couleurs que l’on voudrait utiliser afin de voir les bonnes associations ainsi que les possibilités de nuances. Je vous propose, une série de petits exercices, destinés à vous faire avancer dans la connaissance et la maîtrise de votre palette d’aquarelliste. Petit exercice de compréhention 1. Sur votre palette ou page de papier, placez les 3 couleurs primaires aux 3 sommets d’un triangle imaginaire : jaune winsor en haut, bleu winsor nuance verte à gauche et rose permanent winsor à droite ! (jaune+bleu+rose) 2. Diluez ces 3 couleurs primaires avec un peu d’eau de façon à obtenir une consistance crémeuse pour chacune d’elles : attention, utilisez de l’eau propre et un pinceau pour chaque couleur. (jaune+bleu+rose) 3. Vous allez maintenant réaliser le premier côté, à gauche du triangle en mêlant les 2 primaires qui se trouvent à chaque bout (bleu et jaune). On part du jaune, au sommet du triangle, dans lequel on met de plus en plus de bleu, au fur et à mesure que l’on descend vers la gauche. Attention, pour ne pas salir les primaires de base, utiliser un pinceau différent pour le mélange et le laver à chaque nouvelle tache…. On obtient ainsi une gradation de verts, d’abord à dominante jaune, puis de plus en plus bleue, celui du milieu étant, en principe, le résultat d’un mélange à proportions à peu près égales. Toujours procéder dans le même sens 4. Réalisez la même chose pour le côté droit du triangle, en injectant, cette fois, dans votre jaune primaire de plus en plus de rose permanent (Winsor) au fur et à mesure que vous descendez vers la droite. La propreté de l’eau et des pinceaux est, je le répète, très importante pour obtenir des nuances bichromes bien pures 5. La base du triangle est obtenue en ajoutant, dans le rouge permanent, de plus en plus de bleu au fur et à mesure que l’on va vers la gauche….. eau propre, pinceaux propres, couleurs propres ! On a donc, au terme de ces manipulations, obtenu un certain nombre de couleurs bichromes pures et bien transparentes. Les possibilités sont, en réalité, beaucoup plus nombreuses, vous devez l’imaginer, et si vous en doutez, la réalisation de cet exercice sera pour vous une révélation ! 5. Cette disposition en triangle fait également apparaître un élément très important en peinture : les complémentaires, qui ce font face (bleu-rouge ou rose-vert ou jaune violet)…

ANNÉE 2011…

 Vous pouvez aller voir : http://dquebre.unblog.fr/

 

Le pont Valentré

La première difficulté aura été de vouloir copier les contrastes, cette magifique photo n’est pas très adapter pour réaliser une aquarelle. Je l’ai appris ici. A l’avenir je vais chercher des photos plus éclairées et moins contrastées.

        

 

 

Couleurs utilisées : Bleu outremer, céruléum, cobalt, jaune auréoline, sienne naturelle, orange winsor, rose permanent, terre de sienne brûlée, rose permanent, alizarine cramoisie, vert.

Technique : Papier trempé au début, puis tout le temps papier mouillé brillant zone par zone

 

 

Le lapin de garenne :

Je suis plus à l’aise avec ce genre de sujet, on reviendra sur les forêts et les arbres plus tard.

J’ai trouvé une photo très éclairée, avec des éclats de lumière, idéal pour une bonne aquarelle.

Ici j’ai choisi 2 couleurs de pigments : du Bleu de Prusse et du Jaune, il faut savoir qui ces 2 pigments ne se mélangent pas trop bien, ils se repoussent, j’ai eu beaucoup de mal à obtenir des nuances de vert.

 

 

La forêt :

Pas simple, c’est une première, j’ai trouvé cet exercice très difficile, les ombres, les relief, la lumière… il va falloir en faire et refaire pour arriver enfin à un résultat plus lumineux et plus structuré.

Je n’ai pris que 2 pigments, d’abord je voulais juste 1 couleur, le Violet, mais je n’arrivais pas à donner de la lumière, alors j’ai ajouter le Terre de Sienne.

 

 

Le coq dans la basse-cour : réalisé d’abord sur papier trempé, puis les finitions sur papier presque sec.

 

Chef Indien, réalisé avec 3 pigments.

Aquarelle d’après une photo, technique papier très mouillé, réalisée avec 4 pigments (jaune, orange, marron et bleu)

 

Le chat à été réalisé avec 3 pigments de base.

Le dessin est le reproduction d’ une photo

Janvier, février seront les mois du chat… D’ailleurs, l’année 2011 sera bien l’année du chat ou du lapin pour les Asiatiques.

Le regard me créer pas mal de soucis, difficile de dégager l’expression…

Peindre est devenu un vraie plaisirs, je n’ai plus peur… au début il y a plus deux ans déjà et jusqu’à il y a encore que 6 mois j’avais peur de rater… après chaque esquisse j’hésitais, peur de gâcher le temps de dessin…

Après quelques mois d’arrêt… Trouver le bon papier…

 

Les papiers jouent peut-être un rôle plus important avec ce type de peintures que pour toutes les autres pour deux raisons :

1 – ils portent toute la lumière du tableau, le seul blanc habituellement utilisé étant celui du papier,

2 – parce que la cellulose, constituant majeur du papier, réagit en présence d’eau et précisément, l’aquarelle est la peinture ou l’eau joue le rôle le plus important.

J’ai changé de papier, et, le résultat n’est pas tout à fait pareil.

On s’habitue à un papier, à sa faculté d’absorber plus ou moins l’humidité et le pigment.

L’arrêt de quelques mois, demande un ré-apprentissage… c’est comme pour la musique…

Suite – La couleur, les pigments, les papiers

Comment peindre un lavis ?

Fixer avec de l’adhésif une feuille de papier aquarelle sur une tablette, planchette de bois ou contre plaqué. Prévoir un peu de marge.
Dessiner le sujet discrètement au crayon B2 ou crayon aquarellable.

Comment préserver les blancs ?
Si vous souhaitez préserver quelques blancs sur le papier, prévoyez un essuie tout pour aspirer le trop de couleur. Vous pouvez aussi masquer avec de la gomme liquide. Il faudra déborder un peu de la zone à masquer : la couleur peut passer sous le latex par capillarité.

Préparer son lavis, eau et pigment plus ou moins concentré.

Mouiller toute la feuille à l’aide d’un pinceau large. La feuille va se détendre ça n’a pas d’importance, la feuille se retendra lors du séchage.

Peindre le fond avec le lavis.

Appliquez une couleur assez éparse mais dominante sur toute la surface de la feuille mouillée. L’effet donné est flou. Laissez sécher complètement. Quelques heures plus tard, remouillez  complètement la feuille. Déposez une couleur de fond éparse et jouez avec les tons : on peut aussi faire ruisseler la couleur sur la feuille en l’inclinant.

A la fin on peut renforcer les contrastes.
Intensifiez les détails avec une pinceau fin et par petites touches.

 

QUELQUES PRÉCISION SUR LE PAPIER
Le papier que vous choisirez pour l’aquarelle aura une influence considérable sur votre peinture finale. Le comportement caractéristique du papier, déterminé par sa fabrication, ainsi que la couleur, le poids et la texture de la surface du papier, auront un effet important sur le caractère de votre travail. Il est donc essentiel de comprendre la nature de chaque papier que vous utilisez, et de choisir minutieusement.

Différents supports pour l’aquarelle

Vous pouvez, bien entendu, peindre sur n’importe quel papier adapté à vos besoins, mais il existe des papiers spécialement conçus pour la peinture à l’aquarelle. Les deux supports utilisent la même surface puisqu’ils se composent tous deux de gomme arabique et s’utilisent exactement de la même manière.

Généralement, il existe deux qualités de papier disponibles. Les deux sont fabriqués sur machine ronde pour une meilleure stabilité.

Le premier est composé de coton (ou « 100% chiffon) et le deuxième de fibre de bois chimiquement traité (connu sous le nom de papier « sans bois »).

Pour les beaux-arts, les papiers d’aquarelle sont recommandés si l’artiste souhaite pouvoir exploiter la plus grande variété de techniques et garantir une stabilité à long terme.

Toutefois, il existe différents types de chacun de ces papiers, et d’autres éléments doivent être pris en compte.

LA COULEUR AVEC LA GAMME WINSOR & NEWTON
La gamme Winsor & Newton se compose de 96 couleurs disponibles dans différentes tailles en fonction de chaque coloris. Il en existe en tube, en ce qui me concerne je préfère les godets, le dosage du ton de la couleur me semble plus facile à obtenir.

La gamme extra-fines se divise en 4 groupes appelés « Séries ». La Série 1 est la couleur la moins coûteuse et la Série 4 la plus coûteuse.

Transparence & Opacité

La transparence est la principale caractéristique de l’aquarelle. En raison de la finesse de la pellicule d’aquarelle, toutes les couleurs ont une qualité transparente sur papier, permettant au blanc réfléchissant du papier de transparaître. Toutefois, les pigments ne conservent pas leurs caractéristiques naturelles dans une certaine mesure. Par exemple, les pigments transparents réfractent la lumière de façon très semblable au vitrail, produisant un éclat précieux et un mélange net. Les couleurs opaques comme les cadmiums risquent d’être beaucoup plus couvrantes que les couleurs transparentes.

LA COULEUR

En peinture il est possible de réaliser toutes les couleurs qui existent par le mélange d’un nombre très réduit de couleur de base. Ce nombre se limite à trois couleurs dites PRIMAIRES.

Rouge Jaune Bleu

C’est à partir de ces trois couleurs qu’il va être possible de réaliser toutes les autres. Pour cela il faudra les mélanger entre elles. En aquarelle on obtiendra du plus clair en ajoutant de l’eau claire et du plus foncé en ajoutant du pigment.

Si nous mélangeons du rouge et du jaune on obtiendra de l’orange

du bleu et du jaune = vert

du rouge et bleu = violet

Les couleurs ainsi obtenues s’appelleront COULEURS SECONDAIRES

 

 

 

NOVEMBRE 2009

SEPTEMBRE 2009 – Techniques aquarelle à l’étude

 

Pour peindre en aquarelle, il existe plusieurs technique connues :

 Technique mouillé sur sec

Appelée aussi « technique sèche » les pigments sont posés directement sur un papier sec.

On arrive à la teinte désirée, en  appliquant le lavis en couches superposées. On laisse sécher entre chaque application. On contrôle ainsi facilement son travail.

Technique mouillé sur mouillé

On applique les pigments, et on les mélange sur un papier partiellement ou entièrement mouillé. Il faut bien sûr maîtriser le « cycle de l’eau » humidité brillante, humidité mate. On peut moduler l’humidité du papier et donc conserver une certaine maîtrise de son travail. La diffusion des couleurs, donnera le résultat flou, imprécis.

 Technique mixte

Elle combine suivant les zones à peindre, la technique sèche et la technique mouillée.

Technique du papier inondé

Le papier généralement tendu sur un châssis est copieusement  arrosé. On dépose d’abord des pigments légers en fonds qu’on laisse voyager sur la surface de la feuille en inclinant la feuille. Ensuite on réalise le graphisme de l’œuvre en apportant de la couleur de plus en plus consistante par petites touches. Il faut surveiller la charge des couleurs qui diffusent. Il faut remettre de la couleur parce que le papier boit l’humidité et les pigments. Ensuite, en fin de cycle de l’eau on procède à évider les blancs avec un pinceau souple et pratiquement sec. C’est est assez difficile à contrôler.

Mois d’août

Nous sommes à 12 mois de pratique.

Ici méthode mouillée sur papier mouillé brillant, 2 couleurs (bleu outremer, rouge winsor). Dessin fait avec un crayon rouge aquarellable. (Le crayon aquarelle, mine aquarellable ou crayon delayable, est un crayon de couleur soluble dans l’eau).